Le film de Pauline Wald, Marcher vers son Essentiel, suivi d’un échange avec moi sur le voyage
Rencontre le samedi 13 avril à 20h30, en Ille-et-Vilaine (35)
Je vais intervenir au cinéma Le Mauclerc à Saint Aubin du Cormier pour clôturer le festival de documentaires « Le ciné projette l’avenir ». Après la diffusion du beau documentaire « Chemins de vie, marcher vers son essentiel » de Pauline Wald, je vous parlerais du voyage au féminin, des peurs en voyage, du chemin de Saint-Jacques de Compostelle et bien-sûr de la réalisation du film « Voyageuses ». J’ai hâte et vous êtes bienvenus !
Bande annonce du film :
Bande annonce, sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle
Voyager en Amérique du Sud en fauteuil est toute une péripétie, mais comme dit Emma « ce que je cherche, c’est ramener plein de souvenirs ».
Voici un court reportage de 11 minutes que j’ai réalisé sur Emma. J’ai été très touchée par cette femme qui se réalise dans ses nombreux projets malgré le handicap. Je trouve qu’elle est une belle source d’inspiration dans l’acceptation du handicap et la possibilité de l’allier à ses rêves.
J’espère que son témoignage vous plaira autant que moi.
Mes débuts en train de lire et d’apprendre la Communication NonViolente de Marshall Rosengerg
Je ressors cette photo qui date de plusieurs années en train de lire un livre sur la Communication Non-Violente (CNV). Je ne me serai pas doutée à ce moment-là, que j’aurai aujourd’hui animé des ateliers CNV en entreprise !
Je me rappelle au début (et encore) comme cette approche raisonnait fort en moi et je croquais à pleine dents les formations (et croquais mon portefeuille avec). Elles me donnaient des outils précieux à exister en relation avec bienveillance, authenticité et m’aidaient à pratiquer mon écoute active pour guider et mieux comprendre les autres. C’était très important pour moi, malgré l’engagement financier.
J’ai continué à me former jusqu’à ce que décide d’entrer dans le (long) parcours de certification pour devenir Formatrice en CNV. Une fois le dossier envoyé et accepté, j’ai eu un déclic. J’ai finalement choisi de me former avec l’ANDC (Approche Non-Directive Créatrice) pour mieux saisir les fonctionnements relationnels et me suis lancée dans 3 années de formation jusqu’au diplôme de Thérapeute en Relation d’Aide. Aujourd’hui, je suis vraiment contente de ce parcours, et je vois comme ces deux approches sont similaires, complémentaires et proviennent de la même racine de la psychologie humaniste (Carl Rogers).
En voyant cette photo, je voulais vous partager ma joie d’avoir pu récemment animer des ateliers sur la Communication Non-Violente en entreprise. C’était un challenge de rendre ça vivant et clair en 1h30 mais les équipes étaient ravies ! Elles ont pu voir et comprendre les étapes pour une communication plus authentique au sein de leur travail, voir leurs besoins et mieux saisir les enjeux relationnels. Si vous êtes une entreprise du secteur social (ou non) en Ille et Vilaine, et aimeriez sensibiliser à la Communication Non-violente, je serais ravie d’intervenir dans vos équipes.
Je vous souhaite mes meilleurs vœux pour cette nouvelles année!
Lorsque j’observe la nature en forêt, en montagne, face à la mer ou ailleurs, le même mot me vient à l’esprit : harmonie. Il y a une cohérence entre les êtres vivants, les éléments, les sons. Elle m’apaise et m’inspire, et vous ?
À l’image de la nature, je vous souhaite que 2024 soit l’année de l’harmonie dans vos vies. Par la poursuite de votre chemin vers l’épanouissement personnel, relationnel et professionnel.
Voici quelques nouvelles :
En 2023, j’ai eu la chance d’animer des ateliers en entreprise sur la Communication Non-Violente, en plus de l’analyse de pratique professionnelle.
Pour 2024, je vais proposer des ateliers sur différentes thématiques. En entreprise et pour les particuliers.
C’est officiel ! J’ai un cabinet à Rennes (40 rue Danton, dans les locaux de l’AFP) tous les jeudis (9h00/19h30) pour vous accompagner en thérapie. Je continue bien-sûr l’accompagnement en télé-consultation.
Je suis intervenue à la Médiathèque d’Acigné pour présenter le projet de film « Voyageuses ». J’ai été accueillie au petit soin et remercie les organisatrices.
Malgré ma fébrilité du début à parler en public, celui-ci était bienveillant et j’ai pris beaucoup de plaisir. Les personnes présentes ont partagé leurs histoires de voyage et rendu l’échange très vivant.
J’ai commencé par le thème des peurs, car c’est l’une des premières questions que l’on me pose : « As-tu peur en tant que femme seule ? ». C’est un sujet qui capte l’attention, car tout le monde se sent concerné. Qui n’a pas un peu peur avant de partir à l’aventure ?
J’ai expliqué le choix de réaliser un film sur le voyage solitaire au féminin, et présenté les femmes du film avec leurs différents modes de déplacements (à vélo pliant, à pied, à cheval, à la rame, en stop). La rencontre mémorable avec Michael, un routier canadien qui m’a prise en auto-stop, à été évoquée. Le tout animé avec des vidéos pour varier le contenu et capter l’auditoire Acignolais jusqu’au bout.
Dans la salle il y avait principalement des mordu-e-s d’aventure, et des voyageuses solitaires en devenir. J’ai été touchée d’entendre que plusieurs femmes étaient déterminées à accomplir leur projet de voyage en solitaire malgré les obstacles intérieurs.
Pour cette première conférence (avant film), j’en ressors nourrie, et d’autant plus motivée à poursuivre mes efforts de réalisation !
Suite à mes échanges avec différentes voyageuses, et les femmes que j’accompagne, je vois que l’obstacle intérieur le plus fort est la peur.
J’ai donc observé une vingtaine de peurs qui empêchent les femmes à passer à l’action :
De vivre une agression sexuelle
D’être seule
Du vol (passeport, visa, carte bancaire, objets de valeurs…)
De la réaction de l’entourage
De tomber malade
De l’inconnu
De se perdre
…etc.
Ces peurs sont normales et saines, car elles sont présentes pour notre survie et nous indiquent un danger. Les réprimer est contre-productif alors il est important de les identifier et de les accepter. La peur est directement reliée à l’insécurité, et donc au besoin de se sécuriser. Pour respecter notre équilibre psychique, il est possible de mettre en place des stratégies pour répondre à ce besoin lorsque cela est possible.
Je vous propose un service pour vous accompagner :
Voyager seule en tant que femme – Présentation de l’accompagnement pour futures voyageuses
Au travers de séances individuelles (de 1 à 10 selon vos besoins et objectifs), je vous accompagne sur un versant thérapeutique pour identifier et accueillir vos blocages, vous soutiens par du coaching et du mentoring pour vous partager mes conseils de voyageuse solitaire. En visioconférence, ou dans mes cabinets à Rennes et Bruz
J’interviens dans la commune d’Acigné, proche de Rennes, pour échanger autour du projet de film « Voyageuses » (un documentaire sur des voyageuses solitaires). Je vous présenterais le projet, quelques anecdotes de mes voyages en auto-stop, et bien-sûr d’échanger ensemble. Vous êtes bienvenus ! À 15 minutes de Rennes en bus, le samedi 18 novembre 2023, de 11h00 à 12h00. Réservation conseillée au 02 99 04 34 50
Je vais maintenant pouvoir accueillir dans mon cabinet de thérapie. Il est situé au centre-ville de Bruz. Un espace lumineux pour que je puisse vous accompagner en présence. Il sera partagé avec d’autres professionnels du bien-être et de la santé mentale ; sophrologue, psychologue et psychothérapeute.
Pour se rendre au cabinet à partir de Rennes, il y a le bus C7 ou 59 très régulièrement.
Je continue bien-sûr l’accompagnement à distance qui permet d’éviter les déplacements et les frais.
Plus on accumule les non-dits, plus il est difficile d’aimer la personne et on s’éloigne petit à petit d’elle. Un (e) ami(e), un(e) partenaire, un enfant, un parent, un collègue…
On pourrait parfois se dire « à quoi bon continuer le contact avec cette personne ? ». Parfois, oui, c’est un choix pour se protéger en créant de la distance avec celle-ci, afin de choisir un entourage sain et bienveillant pour nous. Mais assez souvent, c’est un choix de fuite en pensant que ce sera mieux ailleurs, avec une autre personne.
La mauvaise nouvelle, c’est que les non-dits existent dans toutes les relations. Alors voulons-nous fuir sans cesse les difficultés relationnelles ?
Bien sûr, cela demande d’accueillir nos peurs ; la peur de blesser, de déplaire, d’être rejeté, de perdre l’amour, peur de se montrer vulnérable. Pas facile, ça fait mal de s’y arrêter.
Mais la bonne nouvelle, lorsqu’on existe avec un non-dit en relation de manière responsable (responsable de ce que je ressens et vis), bien souvent, les liens se rapprochent, la confiance s’approfondit, la sécurité se crée.
Alors je nous souhaite d’oser dire, avec nos peurs, avec responsabilité et bienveillance, nos malaises en relations. C’est ça le chemin de la communication authentique.
Aller sur le chemin de la responsabilité grâce à l’ANDC et reprendre le pouvoir de sa vie.
Lorsqu’une personne nous dérange (un(e) ami(e), un(e) collègue, un conjoint) nous partons souvent à juger intérieurement, à critiquer, à faire semblant, à ne pas dire, à fuir le conflit, à s’effacer ou inversement à « attaquer » l’autre. Nous nous efforçons à vouloir changer l’autre, souvent sans résultats.
C’est humain et normal de juger et vouloir rendre l’autre responsable de nos malaises en relation. Nous avons été conditionnés par notre éducation à voir ce qui nous dérange à l’extérieur, sans faire le processus d’aller vers soi et voir notre part de responsabilité. Ça demande de la patience, et souvent de l’aide pour arriver à décoller son nez des défauts des autres.
– Heureusement, il existe un autre chemin possible, celui de la liberté d’être soi même et authentique avec les autres. –
Ce chemin passe par la responsabilité (de nos émotions, de nos zones sensibles, de nos réactions défensives, de nos non-dits, de notre choix d’un environnement sain). L’ANDC® est un moyen pour aider à voir avec bienveillance et douceur, notre responsabilité en relation pour mieux avancer, afin de faire des choix heureux, et avoir plus de pouvoir sur notre vie !